Version de 1946
En 1946, les
technologies cinématographiques n’étaient pas aussi avancées qu’aujourd’hui. Pourtant,
il a suffit aux techniciens et au réalisateur, Jean Cocteau, d’utiliser de
simple moyen pour arriver au but espérer.
Par exemple lors de cette scène, les bougies qui s’allument toutes seules, et qui sont tenues par des bras. Il s’agit ici d’un filmage à l’envers. En citant la critique de télérama: "Le trucage, d'une simplicité "enfantine", peut enore rendre jaloux tous les ordinateurs des studios d'animation". En effet, Jean Cocteau a monté la scène à l'envers, pour faire croire que les bougies s'allument au fur et à mesure que la Belle avance.
D'autres moyens sont également mis en œuvre, comme l’utilisation de fils et ficelles, qui servent à ouvrir les portes , ou qui ouvre le passage au jardin lors de l’arrivée de la jeune femme au château.
Le montage est aussi un
moyen simple de faire des trucages, comme ceux produits par raccords.
Il y avait certes moins
de moyens pour faire de grand trucage comme aujourd’hui. Mais même avec les techniques de 1946, les réalisateurs et techniciens étaient capables de créer
des effets spéciaux, de manière simple, sans pour autant faire augmenté le
budget du film.
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